Électronisme - Essai


Accueil / Home


Philippe Dardel 
Notice / C.V


Résumé, en français  
Summary in English

L’Essai
1 L’Univers - in English
2 Les électrons  - in English
3 Les composés  - in English
4 Les ondes  - in English
5 Sur Terre  - in English  
6 La vie   in English
7 Autres théories- in English

Énergie … Electricity

Actualités…Actualities

Compléments
Signes Fantômes-Phantom Signs
Les limites de la physique
Le temps ?  -  pdf in english
Planck & FDC  in English
 
Presque boson de Higgs
Collisionneur ILC
ILC in English
Et après ?


Accueil_Home.htmlPersonnel.htmlResume_en_Franaais.htmlIn_English_An_other_Physics_2.html1_LUnivers.html1_Universe_English.html2_Electrons_English.html3_Les_composes.htmlEnglish_-_3_Compounds.html4_Lumiere_et_ondes.htmlLight_in_English.html5-_Sur_la_terre.htmlEnglish_5_On_our_Planet.html6_La_vie_sur_Terre.htmlEnglish_-_Life_on_Earth.html7_Les_autres_theories.htmlEnglish_Other_Theories.htmlActualites_Plus/Actualites_Plus.htmlActualites_Plus/Actualites_Plus.htmlComplements/Complements.htmlComplements/Entrees/2014/10/11_Signes_Fantomes.htmlComplements/Entrees/2014/10/20_Phantoms_Signs.htmlComplements/Entrees/2014/10/18_Le_temps,_Lee_Smolin_et_le_temps,_lillusion_du_temps,_la_fleche_du_temps.htmlComplements/Entrees/2014/10/19_IS_THE_TIME_REAL_Lee_Smolin_and_the_time.htmlComplements/Entrees/2013/3/26_Planck,_le_fond_diffus_cosmologique_et_lelectronisme.htmlComplements/Entrees/2013/10/4_Plank,_the_cosmic_microwave_background.htmlBoson_de_Higgs/Boson_de_Higgs.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/6/17_LILC_apres_le_LHC.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/10/8_ILC_Collider_in_English.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/6/2_Journee_de_surf.htmlAccueil_Home.htmlshapeimage_1_link_0shapeimage_1_link_1shapeimage_1_link_2shapeimage_1_link_3shapeimage_1_link_4shapeimage_1_link_5shapeimage_1_link_6shapeimage_1_link_7shapeimage_1_link_8shapeimage_1_link_9shapeimage_1_link_10shapeimage_1_link_11shapeimage_1_link_12shapeimage_1_link_13shapeimage_1_link_14shapeimage_1_link_15shapeimage_1_link_16shapeimage_1_link_17shapeimage_1_link_18shapeimage_1_link_19shapeimage_1_link_20shapeimage_1_link_21shapeimage_1_link_22shapeimage_1_link_23shapeimage_1_link_24shapeimage_1_link_25shapeimage_1_link_26shapeimage_1_link_27shapeimage_1_link_28shapeimage_1_link_29shapeimage_1_link_30shapeimage_1_link_31shapeimage_1_link_32

Ékectrons, vibrations, toutes actions, agitation thermique


Accueil / Home


Philippe Dardel 
Notice / C.V


Résumé, en français  
Summary in English

L’Essai
1 L’Univers - in English
2 Les électrons  - in English
3 Les composés  - in English
4 Les ondes  - in English
5 Sur Terre  - in English  
6 La vie   in English
7 Autres théories- in English

Énergie … Electricity

Actualités…Actualities

Compléments
Signes Fantômes-Phantom Signs
Les limites de la physique
Le temps ?  -  pdf in english
Planck & FDC  in English
 
Presque boson de Higgs
Collisionneur ILC
ILC in English
Et après ?


Accueil_Home.htmlPersonnel.htmlResume_en_Franaais.html1_LUnivers.html1_Universe_English.html2_Electrons_English.html3_Les_composes.htmlEnglish_-_3_Compounds.html4_Lumiere_et_ondes.htmlLight_in_English.html5-_Sur_la_terre.htmlEnglish_5_On_our_Planet.html6_La_vie_sur_Terre.htmlEnglish_-_Life_on_Earth.html7_Les_autres_theories.htmlEnglish_Other_Theories.htmlActualites_Plus/Actualites_Plus.htmlActualites_Plus/Actualites_Plus.htmlComplements/Complements.htmlComplements/Entrees/2014/10/11_Signes_Fantomes.htmlComplements/Entrees/2014/10/20_Phantoms_Signs.htmlComplements/Entrees/2014/10/18_Le_temps,_Lee_Smolin_et_le_temps,_lillusion_du_temps,_la_fleche_du_temps.htmlComplements/Entrees/2014/10/19_IS_THE_TIME_REAL_Lee_Smolin_and_the_time.htmlComplements/Entrees/2013/3/26_Planck,_le_fond_diffus_cosmologique_et_lelectronisme.htmlComplements/Entrees/2013/10/4_Plank,_the_cosmic_microwave_background.htmlBoson_de_Higgs/Boson_de_Higgs.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/6/17_LILC_apres_le_LHC.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/10/8_ILC_Collider_in_English.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/6/2_Journee_de_surf.htmlAccueil_Home.htmlshapeimage_2_link_0shapeimage_2_link_1shapeimage_2_link_2shapeimage_2_link_3shapeimage_2_link_4shapeimage_2_link_5shapeimage_2_link_6shapeimage_2_link_7shapeimage_2_link_8shapeimage_2_link_9shapeimage_2_link_10shapeimage_2_link_11shapeimage_2_link_12shapeimage_2_link_13shapeimage_2_link_14shapeimage_2_link_15shapeimage_2_link_16shapeimage_2_link_17shapeimage_2_link_18shapeimage_2_link_19shapeimage_2_link_20shapeimage_2_link_21shapeimage_2_link_22shapeimage_2_link_23shapeimage_2_link_24shapeimage_2_link_25shapeimage_2_link_26shapeimage_2_link_27shapeimage_2_link_28shapeimage_2_link_29shapeimage_2_link_30shapeimage_2_link_31shapeimage_2_link_32


Chapitre II


Les électrons



2,1 - Ses propriétés,
2,2 - Les vibrations,
2,3 - L’énergie, 2,4 - La masse,
2,5 - E = Mc2,
2,6 - Les actions, le mouvement,
2,7 - Rayonnements et rayons,
2,8 - Agitation thermique.




2,1 - Les propriétés des électrons


Dans l’étude de l’Électronisme, il n’a jamais été besoin d’éléments plus petits que les électrons, qui seraient, par exemple, ses composants ou participeraient à la création de la matière ou à n’importe quel autre phénomène ou événement.

Dans la physique classique contemporaine, rien ne laisse penser que les électrons ne seraient pas primordiaux.


    1. Rien ne peut se créer de rien.

    2. Aucune particule de n’importe quelle dimension, décrite avec ou sans masse ou énergie, en fonction des besoins des chercheurs ou techniciens, ne peut se créer à partir de rien, ni dans l’espace ni dans la matière des objets.


    3. Dans de nombreux textes actuels de physiciens, le mot « électron » est utilisé à tord pour rendre compte d’actions de particules et composés très variés, de toutes dimensions, ou portant des charges d’énergie variables.



  1. Les propriétés des électrons sont difficiles à trouver parmi les définitions des physiques théorique, classique ou quantique, contemporaine et d’utilisation courante. Certaines caractéristiques sont bien déterminées, d’autres difficiles à comprendre.

Pour cette étude, nous retenons des qualités reconnues et acceptées par une grande majorité de scientifiques.


Les électrons sont tous semblables et composés d’une matière inconnue vibrant en permanence.


Leur durée de vie est « stable », ce qui veut dire qu’ils sont indestructibles.

Leur masse est déterminée : 9,109 382 6 ×10-31 kg.

C’est un quantum de matière, selon la définition précise de ce mot : « Quantité finie et déterminée ».


Dans les composés, les matières et les objets, le nombre de quanta de masse est toujours égal à ceux des électrons. Les différences entre les composés viennent du nombre d’électrons et de la qualité des intrications et structures créées.



2,2 - Les vibrations


À cette description de leurs caractéristiques connues, il faut ajouter que les électrons vibrent en permanence, toujours de la même façon. Leurs mouvements de vibrations se produisent à une fréquence précise, invariable et la même pour tous en tout lieu et temps.

Une « vibration » est constituée de quatre opérations différentes instantanées : expansion, arrêt, retrait, arrêt.

Elles se produisent les unes après les autres parce qu’elles ne peuvent se réaliser que si l’action précédente a eu lieu.

Aucun temps (selon notre utilisation habituelle de ce mot) n’existe entre les quatre opérations des vibrations, mais elles se réalisent en un certain temps (humain) très faible, presque insensible, mais existant toujours.



    1. Thomson et Hendrik Lorentz, à la fin du XIXe siècle, avaient considéré l’électron comme la particule élémentaire des atomes et Lorentz avait réalisé une étude mathématique des vibrations qu’il leur attribuait ; il les liait à l’électromagnétisme dont Maxwell établissait les équations.


Depuis quelques années, l’amélioration du matériel d’observation et l’ingéniosité des chercheurs ont permis d’observer et analyser des vibrations dans certains corps.

    1. Des physiciens indiquent qu’elles seraient associées aux liaisons moléculaires, ou liées à l’énergie et l’agitation thermique.

    2. En fin 2009, d’autres scientifiques ont réussi à « voir les fréquences de tremblement » de particules. Leurs caractéristiques seraient tout à fait acceptables pour les électrons et leurs composés.

  1. Début 2 011, des chercheurs découvrent que des vibrations légèrement différentes, dans des molécules odorantes apparemment semblables, changent leurs qualités, et leur perception par les êtres vivants.

Les scientifiques ont aussi observé les vibrations de tous les cristaux et de très nombreux composés, sans donner d’explications à leur origine ou leurs causes.


Par ailleurs, il est souvent question de fréquence dans les descriptions de particules ou leur fonctionnement, sans jamais indiquer l’action ou la qualité de cette fréquence ; les physiciens savent qu’un mouvement se reproduit plus ou moins rapidement, mais ne savent pas ce qu’il est.

    1. En mécanique quantique, les particules ont un spin, c'est-à-dire qu’elles tourneraient sur elles-mêmes, à une certaine vitesse. Des physiciens « quantiques » doutent de sa véracité parce que cette rotation donnerait à la partie périphérique de la particule une célérité plus importante que celle de la lumière, considérée comme indépassable (ce qui n’est pas exact).

    2. Le spin pourrait être une apparence des vibrations.

  1. Dans un texte récent (années 2 000) du « laboratoire de Physique des Lasers, Atomes et Molécules, www-phlam.univ-lille1 » nous lisons :

    1. « le spin est un "objet" purement quantique dont la compréhension physique reste, encore à l'heure actuelle, à compléter. Malgré cela, la réalité du spin serait prouvée et il est surprenant que les règles le concernant soient relativement simples. En particulier, le spin ne peut prendre que des valeurs précises, entières ou demi-entières ».

    2. Ces valeurs pourraient être comparées aux mouvements de vibrations, que nous attribuons aux électrons, avec volumes maximum et minimum. Elles expliqueraient les qualités des spins, qui se confondraient avec les mouvements de vibrations des électrons.


    3. Pour la constitution de la matière, les électrons sont « matériellement » liés à d’autres, ce qui est incompatible avec leur rotation éventuelle.



À cause des vibrations, la dimension du rayon des électrons n’est pas précise. Nous retenons le chiffre moyen, indiqué par les physiciens, de 10-18 mètre, c’est-à-dire un millionième de milliardième de millimètre.

La vitesse de la lumière, observée par les scientifiques, nous permet de calculer la fréquence de ces vibrations, soit 1015 hertz, chiffre compatible avec les observations actuelles.

À l’expansion, le rayon double de longueur, ce qui augmente le volume d’environ huit fois.

Ces valeurs sont à vérifier par des physiciens.



  1. Nous, êtres vivants sur Terre, n’avons pas (encore) les moyens pour observer toutes les actions. Nous ne les connaissons que parce que les objets observés sont différents, sans jamais savoir combien et quelles actions ont été réalisées pour les modifier.

    1. D’autant plus que toutes les actions sont réalisées au hasard, dont nous avons expliqué l’importance au chapitre I.



2,3 - L’Énergie


L’énergie n’existe pas dans l’Univers


C’est un phénomène qui n’existe que par les hommes et pour eux.


Ce que nous appelons force ou énergie est un concept particulier difficile à comprendre, dont nous ne connaissons que l’action réalisée.

De tout temps les hommes ont lié le mouvement d’objets sur Terre et dans l’espace à une force ou énergie qui réalisait l’opération. Plus tard avec le développement de certaines techniques, les idées ont évolué, l’énergie a été complétée par l’électricité, force qui pouvait être adaptée aux besoins et lieux d’utilisation par les êtres vivants.


Nous, Humains, ne pouvons pas imaginer ce que nous appelons énergie, alors que nous l’utilisons pour un grand nombre de nos activités et nous lui attribuons des fonctions dans l’espace et ses objets.

Comme si elle avait toujours été là et qu’elle faisait complètement partie de notre vie. Ainsi, personne n’a pensé à essayer de comprendre ce qu’elle est matériellement.


On a étudié des lois de son utilisation, alors qu’on ne savait pas du tout comment elle fonctionnait, tant pour le déplacement des étoiles, que, sur Terre, pour faire tourner un moteur électrique ou d’autres systèmes. On a établi des règles mathématiques utiles aux techniciens.

Mais personne ne sait sous quelle forme elle se présente et comment elle fonctionne.

Les physiciens et tous autres savants n’ont jamais observé un élément matériel particulier qui agirait dans ou sur un objet petit ou grand, solide ou sans forme fixe, qui le rendrait mobile ou serait capable de lui faire exécuter un travail, en lui transmettant la force qui pourrait être nécessaire.

Parce que cette réalité matérielle de l’énergie n’existe pas.



Les règles de fonctionnement des électrons ne comportent aucune indication pour des actions autres que les liaisons des électrons entre eux.

Les conditions de création de ces liaisons sont expliquées au chapitre suivant.


Cette force apparente, « disponible » partout, dans toutes les matières, est l’électricité.


Elle est seulement apparente et ne correspond a aucun élément ou qualité particulière des électrons, sauf au fait que lors de leurs contacts ils peuvent se lier et former d’autres objets réels qui orientent leur avenir.

Cette disponibilité  est tempérée par le hasard. Les liaisons des électrons se réalisent dans des conditions précises des contacts, comme nous l’expliquons dans le chapitre suivant.



Ces conditions de présence et fonctionnement des électrons, confirment que les champs électriques, magnétiques et électromagnétiques n’existent pas, ni dans les matières des objets de l’espace, ni dans l’espace lui-même.


L’espace ne contient pas d’énergie libre « naturelle » ou noire. Pour qu’elle existe, il lui faudrait un support qui serait une particule ou objet semblable, qui n’a jamais été observé.


    1. L’électricité sur Terre est expliquée partiellement au chapitre V.



Les électrons et tous leurs composés n’ont pas de sens « mathématique » de fonctionnement.

Cela est compréhensible pour un corps libre dans un espace sans dimension, puisque sans base de référence, et donc pour nous, sans orientation.


    1. Au XIXe siècle, les physiciens ont donné un sens à certains éléments, particulièrement à ceux qui paraissaient contribuer aux phénomènes électriques. Ils étaient appelés électrons, et acceptés comme étant des éléments primordiaux encore mal définis.

    2. Au début du siècle suivant, le sens des particules a été confirmé mathématiquement et utilisé davantage, sans conséquence particulière pour la physique pratique.

    3. Mais théoriquement et pratiquement les physiciens continuaient à manipuler les électrons libres ou participants à des objets, sans tenir compte de ce qu’ils se repousseraient sans jamais pouvoir se lier, s’ils avaient tous le même sens « mathématique ».

    4. Le sens attribué aux électrons était nécessaire aux études mathématiques, en particulier celles de la Mécanique Quantique et pour expliquer l’apparente répulsion des électrons et des noyaux dans les atomes, tels qu’ils étaient expliqués à l’époque.

    5. Il n’a pas d’autre utilité et n’explique rien, ni pour les électrons libres, ni dans les atomes.

    6. Il n’a aucune influence sur un sens qui devrait affecter les composés d’électrons avec tous un sens négatif.


    7. Au début de l’année 2011, des scientifiques indiquaient que l’explication de ces faits n’aurait pas encore été trouvée.



Dans toute l’Électronisme, nous ne tenons aucun compte d’un sens de charge des électrons et tous objets qui en sont constitués.

Il n’est jamais nécessaire ou même simplement utile dans les raisonnements et les explications de toutes les observations.



2,4 - La Masse


La masse correspond à la substance constitutive de l’électron.


Nous ne savons pas ce qu’elle est. Elle est inconcevable pour l’esprit humain dans l’état actuel de nos connaissances.

Comme l’électron est indestructible, sa substance l’est aussi. Elle existe en permanence.

Elle est in-traversable et incassable.


Tous ensemble, les électrons forment toute la masse des objets de l‘Univers.



2,5 - E = Mc2


La formule E = Mc2 d’Einstein est subjective et spectaculaire.

Au début du vingtième siècle, c'était dans l’air du temps ! De nombreux physiciens cherchaient une formule liant masse et énergie telles qu’elles étaient connues et étudiées à l’époque. C’est la formule d’Einstein qui a été retenu par scientifiques et media ! En son temps, cette formule pouvait avoir une certaine importance, psychologique et politique, au moins dans le milieu scientifique.

Pour le « grand » public, elle avait aussi une valeur poétique. Comparer un grain de sable à un rayon de Soleil !


L’équation entend que masse et énergie peuvent se substituer l’une à l’autre, dans des situations qui ne sont pas précisées. Elle est utilisée pour estimer la quantité d’énergie qui apparaîtrait, quand un peu de masse semble avoir disparu.

Le coefficient c2 est relativement très grand, — le carré de la célérité de la lumière —, pour montrer qu’un peu de masse correspond à beaucoup d’énergie. C’est une appréciation humaine sans signification en science.

Dans la documentation parcourue, nous n’avons trouvé aucun exemple de transformation réelle en masse d’une quantité précise d’énergie, ou l’inverse.

Certaines explications font état d'unités particulières d’énergie, la bombe de Hiroshima ou la tonne de TNT, pour mesurer le résultat d’explosions. Ces unités ne sont pas spécialement précises !



2,6 - Les actions - Le mouvement


Les électrons libres de l’Éther de l’espace se déplacent aléatoirement dans le milieu qu'ils créent, incités par leurs vibrations et la rencontre d’autres objets.

Il se produit alors l’un des deux phénomènes suivant : une modification de leur déplacement ou leur liaison avec un autre.


Ce sont les deux seules actions possibles par les électrons partout dans l’espace et dans les matières des objets.


Dans ce paragraphe, nous étudions le mouvement.

La création des composés fera l’objet du prochain chapitre.



Les électrons libres de l’Ether n’ont aucune raison pour se mouvoir.

Ils sont proches les uns des autres, et leurs propres mouvements les déplacent un peu, ou leur donnent une impulsion pour un mouvement dans une certaine direction que rien ne peut modifier, ou arrêter, sauf la rencontre d’un autre objet.

Le déplacement incité est rectiligne et illimité, sans nécessité de forces spéciales qui s’appelleraient quantité de mouvement ou inertie.


Lorsque les électrons se déplacent, ils peuvent en rencontrer d’autres, libres ou constituants de matière et objets. Les déplacements des deux éléments qui se rencontrent sont alors modifiés, en fonction de leur participation à des composés.


Nous verrons au chapitre suivant que les liaisons qui se produisent parfois lors de ces rencontres sont toujours accompagnées d’une augmentation de l’agitation thermique. Ce phénomène découle des règles normales de fonctionnement des électrons : le composé créé, plus volumineux que les électrons qui se sont rencontrés, créent davantage de possibilités de rencontres.


Nous avons vu au chapitre I que le système de fonctionnement de l’univers est aléatoire. Il n’a pas de règles générales de fonctionnement à côté de celles des électrons. Toutes les liaisons sont donc réalisées au hasard, tant des rencontres elles-mêmes, que du milieu dans lequel elles se réalisent.



Ces déplacements des particules et composés libres, par leurs propres vibrations, et leurs renvois après rencontres, réalisent en même temps une nouvelle répartition des éléments qui créent le désordre.

Dans certaines conditions, les nouveaux composés créés sont répartis avec tous les objets du désordre.

C’est un équilibrage permanent, dans des zones de dimensions variables sans limites précises, continuellement mouvantes.

C’est ainsi que, dans les zones libres entre les atomes et les molécules organisées en matières, des éléments libres se répartissent et font éventuellement évoluer ces matières.



2,7 - Rayonnements et rayons


Rayonnements et rayons sont des termes qui désignent l’ensemble des objets, matériels ou non, qui diffusent depuis un centre, jusqu’à des distances très variées, selon la qualité des éléments « rayonnés » et l'encombrement des milieux traversés.

En s’éloignant du centre, le volume de ces éléments rayonnés ne change pas, et la zone traversée s’agrandit ; les rencontres d’autres corps sont progressivement moins nombreuses.


En physique de l’Univers, tous les rayonnements, dans l’espace et dans les objets, sont des déplacements de corps divers, entraînés, lors de leurs contacts, par les mouvements d'expansion des électrons dont ils sont constitués. Ils provoquent plus ou moins de liaisons d’électrons avec augmentation de l’agitation thermique.


L’agitation thermique est uniquement le déplacement de ces éléments.

Cela explique que les corps les plus simples, électrons libres et primo composés sont les plus rapides. C’est le cas des rayons X, gamma et autres.

    1. Ces rayons sont arrêtés et « absorbés » différemment les uns des autres par les matières rencontrées. L’absorption signifie qu’ils perdent leur indépendance et sont incorporés dans un composé, avec augmentation de l’agitation thermique.



Les plasmas sont créés par une augmentation des rencontres et liaisons des électrons dans des composés. Ces composés grossissent en fonction des électrons qui se lient ce qui entraîne d’autres contacts et une augmentation de l’agitation thermique.

Ce phénomène est inéluctable.

Il existe dans toutes les matières et les objets, les étoiles par exemple.

Il est enclenché dès le début de la formation de ces objets dans les nébuleuses ou autres structures dans l’espace. Cela explique leur développement, en milliards d’années jusqu’à leur destruction en formant d’autres objets. Nous les étudions au chapitre I.



Lors du mouvement de retrait des vibrations, des éléments proches occupent la place laissée libre par les électrons ou composés qui se rétractent.

Ils semblent être attirés. Ils ne le sont pas : il n’y a que l’expansion d’autres électrons voisins.

Dans tous les événements dans la matière que nous connaissons et ses objets, des mouvements d’expansion et retrait côte à côte et simultanés peuvent être interprétés de deux façons différentes, soit comme expansion répulsion, soit comme retrait attraction.


C’est ainsi qu’ont été appelés magnétisme et champs magnétiques des phénomènes et objets difficiles à comprendre que nous essayons d’expliquer dans le chapitre suivant.



2,8 - Agitation thermique


Les vibrations et l’agitation thermique sont deux phénomènes très différents l’un de l’autre.


Les vibrations des électrons sont les mouvements permanents et invariables de leur matière.

Celles des composés sont les résultantes de celles des constituants, en fonction de la qualité des liaisons. Les atomes, les molécules, les cristaux et d’autres corps de notre matière constituée, vibrent dans ces conditions.

Ils commencent à être observés et étudiés.



L’agitation thermique, dans une zone déterminée, désigne l’état moyen des déplacements-rayonnements des éléments qui provoquent des contacts, parfois suivis de liaisons avec de nouveaux rayonnements.

La qualité des déplacements dépend des vibrations globales des composés.


Dans nos matières et dans l’espace, les transferts de « chaleur », naturels ou forcés, sont réalisés par des rayonnements, qui créent des intrications d’électrons directement, (c’est la conduction), ou avec participation d’éléments intermédiaires (convection).



L’agitation thermique est mesurée par la température dont l’unité est le kelvin. Avec la même graduation, nous utilisons sur Terre le degré Celsius ou d’autres échelles de mesure.

Dans l’espace à zéro kelvin, les vibrations des électrons se réalisent normalement.

La température de zéro kelvin pourrait être celle de l’espace sans activité hors celle des vibrations des électrons.


La température est actuellement d’environ 2,85 kelvins, dans l’espace libre entre les galaxies. Elle montre le niveau moyen dans cet espace, de l’agitation thermique communiquée par les liaisons d’électrons et la création d’objets dans les galaxies et leur environnement.


Les relevés radio métriques de taches de températures différentes dans certaines zones de l’espace pourraient correspondre à des perturbations créant des ondes de l’espace, probablement lors d’intrications d’électrons du WHIM. (Voir chapitre I).

Il n’existe aucune raison pour que ces taches soient dues à un « rayonnement fossile » qui resterait accroché à des éléments de l’époque, ou que ces ondes de l’espace à fréquence « radio métriques » rapportent une température de l’espace à un moment précis de l’évolution de l’Univers. C’était et c’est encore, semble-t-il, l’appréciation de leurs découvreurs, bien qu’ils en aient reçu le prix Nobel.


Nous ne pouvons pas imaginer les conséquences matérielles visibles de température d’un ou plusieurs millions de degrés ou de kelvins dans les étoiles ou autres objets de l’espace. Ces valeurs sont une évaluation de l’agitation thermique sans relation avec la chaleur, expliquée ci-dessous.



La chaleur est la perception humaine de l’agitation thermique.

Henri Poincarré avait énoncé cette idée.


Pour tous les êtres vivants c’est le résultat, perceptible ou non, des actions dues à l’agitation thermique, dans leur organisme. Une brûlure, pour eux, est une modification de certains constituants des cellules, par des intrications inhabituelles d’électrons. Des composés nouveaux sont créés, parfois indésirables, souvent irréversibles, — des cellules ou tissus brûlés —, phénomène qui peut avoir de graves conséquences sur la vie des cellules, des tissus et des êtres vivants eux-mêmes.

C’est le cas en particulier pour les contacts des êtres vivants avec les particules radioactives des réacteurs nucléaires et de la radiothérapie.


© - 23,04,2016


Accueil / Home


Philippe Dardel 
Notice / C.V


Résumé, en français  
Summary in English

L’Essai
1 L’Univers - in English
2 Les électrons  - in English
3 Les composés  - in English
4 Les ondes  - in English
5 Sur Terre  - in English  
6 La vie   in English
7 Autres théories- in English

Énergie … Electricity

Actualités…Actualities

Compléments
Signes Fantômes-Phantom Signs
Les limites de la physique
Le temps ?  -  pdf in english
Planck & FDC  in English
 
Presque boson de Higgs
Collisionneur ILC
ILC in English
Et après ?


Accueil_Home.htmlPersonnel.htmlResume_en_Franaais.html1_LUnivers.html1_Universe_English.html2_Electrons_English.html3_Les_composes.htmlEnglish_-_3_Compounds.html4_Lumiere_et_ondes.htmlLight_in_English.html5-_Sur_la_terre.htmlEnglish_5_On_our_Planet.html6_La_vie_sur_Terre.htmlEnglish_-_Life_on_Earth.html7_Les_autres_theories.htmlEnglish_Other_Theories.htmlActualites_Plus/Actualites_Plus.htmlActualites_Plus/Actualites_Plus.htmlComplements/Complements.htmlComplements/Entrees/2014/10/11_Signes_Fantomes.htmlComplements/Entrees/2014/10/20_Phantoms_Signs.htmlComplements/Entrees/2014/10/18_Le_temps,_Lee_Smolin_et_le_temps,_lillusion_du_temps,_la_fleche_du_temps.htmlComplements/Entrees/2014/10/19_IS_THE_TIME_REAL_Lee_Smolin_and_the_time.htmlComplements/Entrees/2013/3/26_Planck,_le_fond_diffus_cosmologique_et_lelectronisme.htmlComplements/Entrees/2013/10/4_Plank,_the_cosmic_microwave_background.htmlBoson_de_Higgs/Boson_de_Higgs.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/6/17_LILC_apres_le_LHC.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/10/8_ILC_Collider_in_English.htmlBoson_de_Higgs/Entrees/2013/6/2_Journee_de_surf.htmlAccueil_Home.htmlshapeimage_3_link_0shapeimage_3_link_1shapeimage_3_link_2shapeimage_3_link_3shapeimage_3_link_4shapeimage_3_link_5shapeimage_3_link_6shapeimage_3_link_7shapeimage_3_link_8shapeimage_3_link_9shapeimage_3_link_10shapeimage_3_link_11shapeimage_3_link_12shapeimage_3_link_13shapeimage_3_link_14shapeimage_3_link_15shapeimage_3_link_16shapeimage_3_link_17shapeimage_3_link_18shapeimage_3_link_19shapeimage_3_link_20shapeimage_3_link_21shapeimage_3_link_22shapeimage_3_link_23shapeimage_3_link_24shapeimage_3_link_25shapeimage_3_link_26shapeimage_3_link_27shapeimage_3_link_28shapeimage_3_link_29shapeimage_3_link_30shapeimage_3_link_31shapeimage_3_link_32
 
Accueil / Home  -  Philippe Dardel, Boningal, 82200 Moissac, France
Courriel : phdardel@orange.frAccueil_Home.htmlmailto:phdardel@orange.frshapeimage_4_link_0shapeimage_4_link_1